Au sein d’un contexte financier marqué par de nouveaux challenges réguliers, la capacité d’optimiser la gestion de trésorerie par le biais des systèmes de gestion de trésorerie (TMS) est devenue un enjeu stratégique pour les trésoriers et les DAF. Entre TMS Cloud et TMS On-Premise, le choix pour les trésoreries se complique.
Notre article détaille les aspects techniques de ces deux types d’outils. A travers cette exploration, AKSI vise à éclairer les trésoriers et DAF dans leur quête de la solution TMS la plus adaptée à leurs besoins, en mettant en lumière les opportunités et les défis inhérents à chaque option.
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Les performances financières d’une entreprise sont corrélées au degré de sophistication de sa trésorerie, selon une récente étude de CITI. Celle-ci révèle en effet que les entreprises dont la trésorerie est dotée d’une solution de gestion de trésorerie affichent un ratio EBITDA/chiffre d’affaires supérieur aux autres.
Cela suggère que la performance de la trésorerie, telle que mesurée par cette étude, est un indicateur efficace de la capacité de la trésorerie à transformer le chiffre d’affaires en bénéfices. Un leadership en matière de trésorerie peut apporter une contribution positive à la croissance de l’entreprise.
Face à l’inflation et aux hausses des taux d’intérêt, 42% des trésoriers ont réduit la durée de leurs investissements. Mais pour 80% des trésoreries, les dépôts bancaires représentent 80 à 100% des investissements à court terme : un élément qui devrait pousser les professionnels du domaine à porter plus d’attention à la diversification de leurs portefeuilles.
Par ailleurs, les marchés anticipent une baisse des taux dès 2024, bien que cette perspective puisse être prématurée selon certains acteurs du secteur.
Conçu par d’importantes institutions bancaires et financières, le “FX Global Code of Conduct” est un code non contraignant composé de six principes clés qui vise à promouvoir l’intégrité, l’efficacité et la transparence dans le marché des changes (FX). Avec une révision prévue pour 2024, il est crucial pour les trésoriers d’entreprise de se familiariser dès maintenant avec ces principes pour se préparer aux évolutions futures du code.
Une évaluation de la Banque Centrale Européenne (BCE) révèle que les banques doivent significativement améliorer leur gestion des risques informatiques et de cybersécurité. Peu de progrès ont été réalisés sur les lacunes déjà existantes en la matière, et les processus de gestion des changements informatiques et logiciels ne sont toujours pas à même de garantir un fonctionnement ininterrompu des services critiques. Plus inquiétant encore, de nombreuses banques ont échoué à identifier les risques cybersécurité auxquels leurs systèmes peuvent être confrontés. Reste à espérer pour les entreprises – et leurs trésoreries – que ces nouvelles alertes de la BCE poussent les banques à agir rapidement pour améliorer leur gestion des risques IT, sans quoi la confiance tissée pourrait se dégrader.
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