Face aux deepfakes menaçant les entreprises, les trésoreries disposent de deux axes de défense : la technologie, parfois coûteuse, et l’observation humaine, accessible à tous. Cette dernière implique d’examiner les mouvements des yeux, les expressions et postures inhabituelles, la texture des cheveux et la synchronisation labiale dans les vidéos. Norton délivre une liste détaillée de réflexes à adopter pour tenter de protéger les équipes trésorerie.
Les habitudes en matière de FX ont la peau dure : en moyenne, les entreprises européennes collaborent avec seulement 2,67 contreparties et ce, malgré les risques révélés par la crise bancaire touchant Credit Suisse. Néanmoins, 77% envisagent d’ajouter plus de contreparties FX, à noter que 92% prennent en compte les critères ESG dans ce choix. Encore largement manuelles, 34% des transactions FX se font par téléphone et 24% par email. Pourtant, 78% des entreprises et 89% des DAF sondés penchent vers l’automatisation des opérations FX, marquant un tournant stratégique majeur.
Après le succès des tests d’interopérabilité entre les MDBC (Monnaies Digitales de Banque Centrale) l’année dernière, SWIFT a récemment annoncé vouloir lancer une plateforme dans 1 à 2 ans pour connecter les MDBC au système financier actuel. Des banques de premier plan (HSBC, Citibank, Société Générale, etc.) s’investissent dans ce projet qui vise à créer un point de connexion mondial pour traiter les paiements d’actifs numériques.
Lauréat du prix DACT 2023, ASML a amélioré la précision de ses opérations de change (FX) de 70% à 96% en développant une solution d’IA en interne. Le plus : une solution entièrement “homemade”. Dans son interview avec TMI, le Trésorier Front Office d’ASML révèle que, si les trésoriers n’ont pas nécessairement besoin d’être des experts en IA pour commencer à travailler sur de tels projets, mieux vaut collaborer avec un data scientist pour plus d’efficacité.
Prévu pour début 2025, le lancement de l’Instant Payment en Europe, qui prévoit que les paiements soient effectués en moins de 10 secondes en Europe, paraît surréaliste au regard des projets déjà imposés aux banques (comme la migration MT MX).
Une enquête de Gartner montre que 34% des DAF sont impliqués dans l’intégration de l’IA générative. Les experts décrivent 3 phases générales au déploiement de ces technologies : Défense (intégration d’IA accessibles et bénéfices immédiats), Extension (applications personnalisées pour plus d’impact) et Renversement (changements organisationnels profonds induits par l’IA). Où qu’en soit le DAF dans sa réflexion, il doit rester conscient des risques financiers associés à l’implication de la data sensible liée à l’usage de l’IA.
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Face aux deepfakes menaçant les entreprises, les trésoreries disposent de deux axes de défense : la technologie, parfois coûteuse, et l’observation humaine, accessible à tous. Cette dernière implique d’examiner les mouvements des yeux, les expressions et postures inhabituelles, la texture des cheveux et la synchronisation labiale dans les vidéos. Norton délivre une liste détaillée de réflexes à adopter pour tenter de protéger les équipes trésorerie.
Les habitudes en matière de FX ont la peau dure : en moyenne, les entreprises européennes collaborent avec seulement 2,67 contreparties et ce, malgré les risques révélés par la crise bancaire touchant Credit Suisse. Néanmoins, 77% envisagent d’ajouter plus de contreparties FX, à noter que 92% prennent en compte les critères ESG dans ce choix. Encore largement manuelles, 34% des transactions FX se font par téléphone et 24% par email. Pourtant, 78% des entreprises et 89% des DAF sondés penchent vers l’automatisation des opérations FX, marquant un tournant stratégique majeur.
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Après le succès des tests d’interopérabilité entre les MDBC (Monnaies Digitales de Banque Centrale) l’année dernière, SWIFT a récemment annoncé vouloir lancer une plateforme dans 1 à 2 ans pour connecter les MDBC au système financier actuel. Des banques de premier plan (HSBC, Citibank, Société Générale, etc.) s’investissent dans ce projet qui vise à créer un point de connexion mondial pour traiter les paiements d’actifs numériques.
Lauréat du prix DACT 2023, ASML a amélioré la précision de ses opérations de change (FX) de 70% à 96% en développant une solution d’IA en interne. Le plus : une solution entièrement “homemade”. Dans son interview avec TMI, le Trésorier Front Office d’ASML révèle que, si les trésoriers n’ont pas nécessairement besoin d’être des experts en IA pour commencer à travailler sur de tels projets, mieux vaut collaborer avec un data scientist pour plus d’efficacité.
Prévu pour début 2025, le lancement de l’Instant Payment en Europe, qui prévoit que les paiements soient effectués en moins de 10 secondes en Europe, paraît surréaliste au regard des projets déjà imposés aux banques (comme la migration MT MX).
Une enquête de Gartner montre que 34% des DAF sont impliqués dans l’intégration de l’IA générative. Les experts décrivent 3 phases générales au déploiement de ces technologies : Défense (intégration d’IA accessibles et bénéfices immédiats), Extension (applications personnalisées pour plus d’impact) et Renversement (changements organisationnels profonds induits par l’IA). Où qu’en soit le DAF dans sa réflexion, il doit rester conscient des risques financiers associés à l’implication de la data sensible liée à l’usage de l’IA.
Cabinet indépendant de conseil en gestion de trésorerie